Kipengele
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 Lionel Edward Farasi

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Uchawi

Uchawi


Messages : 18
Date d'inscription : 09/08/2011

Lionel Edward Farasi Empty
MessageSujet: Lionel Edward Farasi   Lionel Edward Farasi Icon_minitimeMer 10 Aoû - 0:58

Ce code a été codé par Diamine et remixé par Enora FB .




Lionel Edward Farasi



17 ans - Année?? - Ardhi



Mon histoire
« Ne met pas tes coudes sur la table ! »


Lionel Edward Farasi Bznj

feat. Benjamin Siksou
    What I am ...

    La vie ne m'a pas gâté, mais j'ai su tirer profit du meilleur, faire le tri dans le flot des actes qui ont tenté de me bousiller. Mais surtout, par dessus tout, j'ai pu sauver ma petite sœur. Alors que personne n'y touche, que personne ne lui fasse du mal, je lui ait évité le pire, mais elle a également connu l'enfer. Sinon, si je devais me décrire, je me désignerai comme une bombe à retardement. Je suis calme, à l'écoute, mais si l'on commence à me chauffer un peu trop, j'explose. Cela ne s'est jamais produit depuis mon arrivée à Kipengele, pourvu que ça dure. Mes amis peuvent compter sur moi, je suis très dévoué pour eux et prêt à de nombreux sacrifices. Mais laissez moi vous raconter l'histoire de ma vie, qui, je dois vous prévenir, n'est pas toute rose :

    Tout a commencé alors que je n'étais encore qu'un enfant. Georges, mon père, n'était pas un sorcier contrairement à ma mère. Mais par amour pour lui, cette dernière avait renié ses pouvoirs, rendant même sa baguette. Vous rendez vous compte de l'importance de l'acte ? En tout cas, cela n'a pas échappé à Georges qui est alors devenu un autre homme. Plus les mois passaient, plus ils rentrait tard le soir, souvent très énervé. Je trouvais parfois ma mère en train de pleurer dans la cuisine, je n'avais encore que quatre ans, je ne comprenais pas. Je lui demandais ce qu'il se passait, elle se contentai alors de me prendre dans les bras et de me dire que tout irait bien. Mais c'était faux. Alors que je n'avais que six ans, ma mère se mit à grossir, grossir, elle était enceinte. Un soir, toujours aussi tard, mon père rentra, il était dans une fureur que je ne lui connaissait pas, il puait et n'arrivait pas à parler. Il frappa ma mère au visage, pour la première fois. J'écarquillais les yeux et il me dit de filer dans ma chambre, que ma mère le méritait parce qu'elle avait fait une très grosse bêtises. Je ne comprenais toujours pas, même quand mon père voulait me punir et qu'il me mettait une claque, ce qui était rare, elle n'avait jamais été aussi puissante. Je montais donc dans ma chambre, me confortant dans l'idée que ma mère avait du faire une très très grosse bêtise. Mais le scénario se répéta quelques mois plus tard, après la naissance de ma petite sœur, Ingrid. Je dus de nouveau monter dans ma chambre, avec Ingrid dans les bras. Quelques jours plus tard, cela recommença, et ça devint quelque chose de régulier. Chaque fois que je montais dans ma chambre, j'entendais ma mère supplier Georges, en pleurant, elle disait "nooon, ne leur fait pas de mal, je t'en prie ... ". Ce n'est que bien plus tard que j'ai compris ses paroles. Alors un soir où mon père rentrait tard, énervé comme chaque jour maintenant, et qu'il me demanda de monter dans ma chambre, je pris Ingrid dans mes bras, (elle avait maintenant un an) et la posait dans ma chambre. Je redescendis à toute vitesse en entendant les cris et les pleurs de ma pauvre mère, qui au fil du temps, était devenue très laide, marquée par les coups de mon père. N'écoutant que mon courage et la haine que j'éprouvais envers cet homme qui était mon père, je lui sautais dessus et le frappai à la tête pour qu'il cesse de battre ma mère. Cette dernière, horrifiée, essaya de m'en empêcher. Elle me mit même une claque, mais je voyais bien dans ses yeux que c'était la peur qui parlait. Quand mon père se rendit compte de ce que j'avais fait, il me jeta au sol avec violence. Ce soir là, mon père m'a frappé.
    Il a finit par partir, ma mère s'est excusée pour la baffe, mais ce n'était rien comparé aux coups de mon père. Nous avons passé la nuit en bas, moi et ma mère, avec Ingrid, à se serrer dans les bras en pleurant. A partir de ce soir là, c'est devenu régulier. Quand mon père rentrait, il était toujours ivre et nous frappait, moi et maman. Nous encaissions les coups, mais je voyais bien que la santé de maman se dégradait. C'est le soir de mes onze ans, quand Georges rentra, il nous frappa. Mais ce soir là, il fit une chose que je ne lui pardonnerait jamais. Il est monté dans la chambre d'Ingrid. Elle avait cinq ans et dormait tout en sanglotant, car je lui avais tout expliqué. Fort heureusement, nous étions prêts depuis longtemps elle et moi, nous avions préparé un plan. Quand il monta bruyamment les escaliers, je priais pour qu'Ingrid suive le plan comme convenu. Elle le fit. Mon père pénétra dans sa chambre alors qu'elle avait disposé des couvertures sous ses draps, faisant croire qu'elle dormait dans son lit. Mais au lieu de ça, elle attendait derrière la porte. A peine mon père entré dans sa chambre, elle fila par la porte, dans son dos. Il donna de gros coups de points dans le lit, avec une violence qui lui était propre. Ingrid nous rejoint, maman et moi en bas. Je la pris par la main et comme convenu avec ma mère, nous primes les petits baluchons qui étaient prêts depuis des mois maintenant, et nous partîmes en courant de la maison des horreurs.
    Tous deux, nous nous cachâmes non loin de la maison, le temps de se remettre de nos esprits. J'ai entendu maman hurler si fort ce soir là, que ça me fendit le cœur. Je fis promettre à Ingrid de ne pas bouger de notre cachette, lui expliquant qu'il fallait que je sauve maman, car nous ne retournerions jamais à la maison. Mais quand je retournais à la maison, je vis mon père en sortir, les poings couverts de sang, hurlant tout ce qu'il pouvait tel un possédé. C'est la dernière fois que j'ai vu Georges. J'ai alors ouvert doucement la porte de la maison, et j'ai trouvé ma mère, gisant dans son sang. Ce soir là, Georges a tué ma mère.
    Je ne voulais pas qu'Ingrid voie ceci, je ne voulais pas que son innocence déjà bafouée puisse mettre des images sur l'immondité de mon père. Alors j'ai composé le numéro des secours, depuis le téléphone de la maison, tout en sachant qu'ils ne pourraient faire, et j'ai rejoint Ingrid avant leur arrivée. Je l'ai prise par la main, et nous avons marché en silence, toute la nuit.
    Je savais que j'étais un sorcier, et Ingrid aussi. C'est notre mère qui nous l'avait appris, elle m'avait également parlé de Kipengele, l'école de sorcellerie. C'est là que je voulais emmener Ingrid. Hélas, ils lui refusèrent l'entrée - elle n'avait que cinq ans - mais me conseillèrent de l'installer dans le village voisin [nom du village] après que je leur ait expliqué que je ne pouvais retourner à la maison. Je pris donc un petit loyer à [nom du village] et y installait ma sœur. Je lui montrais comment faire les tâches ménagères, comment se nourrir, comment communiquer avec moi, et lui promit que je rentrerai le plus souvent possible.







    CE QUE JE VEUX
    ________
    Ingrid Jade Farasi : Ingrid et Lionel sont très proches, inséparables et très complices. Ils ont besoin mutuellement de l'autre pour vivre et ne restent jamais très longtemps séparés. Depuis qu'Ingrid est entrée à Kipengele, Lionel veille sur elle plus que jamais. Elle sait qu'elle peut compter sur lui à tout moment et ni l'un ni l'autre ne tolèrerait que quelqu'un s'en prenne à l'un d'eux. Ils sont une équipe inébranlable que rien ne peut séparer.


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